Mon coeur de cornaline 2 – Écriture – Poésie
Mon coeur de cornaline 2
Confession intime d’une gamine au cœur de cornaline 2007
En toi je cherche un complice aussi fou d’amour que moi
N’aie pas peur je ne te prends pas pour un sauveur
Je ne te souhaite que le meilleur, il faut écouter son cœur
Sache que,
Tu as percé ma fragile carapace
« Bien joué ! » j’aimerais te le dire en face
Je n’ai pas tout capté ce qui en moi s’est passé
Je me suis senti dépassée
Mais,
Je le reconnais, mmm
Sans hésiter, très fort tu as été
Bouleversée je me sentais
Souvent sans voix je restais
Car,
Non sans y croire j’ai peur, nous voulons connaitre le bonheur…
Tu m’irradies de bonté, de celle – ci j’ai tremblé
Cela m’a déroutée
Je veux t’accueillir comme tu es, je te veux en entier et
En aucun cas je ne voudrais changer l’homme que tu es
Mais toi sauras – tu m’apprivoiser
Malgré une sauvage timidité
Qui au début nous fait gaucher
Qui nous fait douter, trébucher
Comme des débutants et leur archer ?
Consommer la praline de ta vie me donne tellement envie
Lire en toi c’est également comprendre une mer, un océan
Banquises de glace subsistent
A la douceur des plages lisses
Merveilles et surprises existent
De la surface aux abysses
A mon âme pleine d’amour des magiciens ont du jouer des tours,
ou de bons troubadours
Qui aujourd’hui rient toujours
Alors,
Ta bombe galvaudée de miel tu m’as donné des ailes
Cette nuit était si belle
Encore…
En noctambules nombrilistes
Notre numéro en complices
Nous pourrions faire un caprice ?
Juste pour un croque – délice !
Et dans le clair – obscur du matin
D’une voix grave et douce tu me dirais soudain
Viens avec moi, ce n’est rien…
Et encore…
Mon âme ainsi marquée de ce sentiment de vérité
Comme une bulle je me sentirais partir
J’aurais encore le temps de sentir
Cette lumière chaude et dorée
Entre chaque particule resplendir
Me rendre éthérée et adoucie…
Et les yeux à peine ouverts
Nous prendrions conscience de ce qui nous aurait été offert
Nous resterions chevillés à terre
Submergés d’une paix réparatrice
Nos êtres envahis de délices
Ainsi nous libèrerait – t – elle
De nos souvenirs tristes
Jamais corps et âme
Nous ne nous serions sentis si bien, dans « le néant du rien »
Nous ne voudrions plus quitter ce sentiment de félicité
Ne plus jamais parler, ne plus jamais se lever
Boire toutes ces saveurs
En esprit et en chair
Ivresse de liqueur claire, ah
Tu as tout pour me plaire
Alors…
Si tu es celui qui m’apaisera vraiment
Je te dirai de temps en temps
Que ton dévouement et ton amour me comblent vraiment
Et si des regards désireux venaient jusqu’à moi
Et s’ils venaient de toi, je n’y résisterais pas
Doucement je finirais par sentir le meilleur de toi
Je saurai de connaitre, te soutenir, te donner
Et je pense que la patience est le secret de l’équilibre en vérité
Ainsi s’achève ma confession intime, après « le jeux
spécial bonne – mine »
J’adore ta vie et sa praline, j’ai envie de contempler dans tes
yeux sublimes
Cette lueur fragile et câline
Qui fait fondre mon cœur de cornaline
mardi 6 novembre 2007 à 20:58amour - art - esprit - fond - homme - lumière - regard - science - sentiment - surface - temps - terre - triste - vent - vie